L
Pour les aquitains laplus importante chasse leur permettant de se retrouver est lachasse à la palombe. Le même rituel annuel se répèted'octobre et novembre.
![]() |
Dans le nord de la France la palombe, qui porte également le nom de ramier ou pigeon, n'est pas prisée. Les préparatifs pour leur accueil se font sentir dans les bois. Les palombières ont droit à un lifting. La palombe se fait attendre lors de son voyage trans-pyrénéens. Les palombières sont des postes d'observation pour les chasseurs, camouflées par des branchages, permettant d'attirer le volatile. Ces abris faits principalement de pins et de fougères, sont reliés par de petits couloirs à demi-enterrés. |
Devant la palombière, quelquesdizaines de mètres carrés sont soigneusement entretenus. Desfilets "pantières"y sont disposés et retenus par de forts ressorts. Quelquespalombes captives, ou appeaux, sont hissés au sommet des arbressur un support mobile. A l'approche d'un vol, les palombescaptives, déséquilibrées de leur perchoir par les chasseurs,attirent par leurs cris et leurs battement d'ailes, leurscongénaires. Quand le vol de palombe se pose, le filetss'abattent alors pour les capturer.
Suggestion de recette :
retour vers Le vin et la Gastronomie